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Audrey Lessard est née dans la petite ville minière de Thetford Mines en mai 1982. Elle y a grandi auprès de ses amis, ses cousins et sa famille. Une particularité : Audrey est née sourde. Elle n’est pas malentendante mais bel et bien sourde. Elle n’entend rien de rien ! Pourtant ses amis, pour la plupart, sont des personnes entendantes. Et depuis l'enfance jusqu’à ce jour, tous communiquent sans problème avec Audrey.

Y’a pas à dire, la vie des Beaulieu est complètement virée d’sour ! Porteuse d’un secret aussi lourd que beau, Alvenia doit quitter les collines de Bellechasse. Son avenir est flou, mais la jeune femme l’imagine rempli d’amour. Chose certaine, elle est bien déterminée à organiser ses affaires à son goût. Et tant pis pour ce qu’en pense son maususse de père ! Pendant ce temps, la vie est douce à Saint-Damien.

La poète s'envole vers La Romaine, où elle se fera passer pour une commis de bureau alors qu'elle travaillera à un nouveau recueil. Armée de son carnet et de questions trop longtemps laissées sans réponse, elle fait irruption dans ce monde rude et impénétrable, espérant enfin comprendre les raisons qui ont poussé tous les hommes de sa famille, et surtout son père, à délaisser leur foyer au profit de la vie de chantier.

Le dernier combat de boxe de Gaëtan Hart, à l’âge de 46 ans, a sonné le réveil de Mélanie, sa fille. À compter de cette journée de tourment, elle a décidé de connaître cet homme qui était davantage en amour avec la boxe qu’avec sa famille. Qui est ce père méconnu d’elle mais héros de plusieurs? Pourquoi Mélanie a-t-elle vécu aussi longtemps sans sa présence?

L’histoire que je vais vous raconter se déroule dans Bellechasse, ma terre natale. On est en 1911. Eva et Hormidas sont enfin seuls dans leur maison de Saint-Lazare. Laissez-moi vous dire qu’ils prennent plaisir à rattraper le temps perdu, ces deux-là ! Généreux et apprécié de tous, amoureux fou de sa belle épouse, Hormidas se révèle un père dévoué pour Rosalie, Aimé, le fils tant attendu, et les jumelles Alice et Aline.

À 36 ans, Édith est une femme résolument moderne, à la carrière brillante. Elle dirige de main de maître une société de conseil, possède un bel appartement dans le Vieux-Montréal, vit des aventures sans lendemain et rencontre fréquemment Marguerite, une femme très différente d'elle, avec qui elle partage pourtant une longue amitié. Mais sous ces apparences, elle est aux prises avec de terribles démons.

Une fois son cadet parti de la maison, Julie se sent libérée des obligations familiales. Elle est amoureuse comme jamais de son William et redécouvre les joies de la vie à deux. Mais un soir, lors d'un congrès où elle est honorée, un événement tragique fait en sorte que sa vie bascule en l'espace de quelques minutes. S'ensuit une longue période de silence et de solitude, qui sème l'incompréhension autour d'elle. Julie aura-t-elle le courage de s'ouvrir à ses proches sur ce qu'elle a vécu? Saura-t-elle reprendre confiance en elle et en la vie ?

Dans l'une des maisonnées pas si paisibles du village, la jeune Alvenia bataille ferme pour tracer sa voie. C'est sans compter sur les combines noires comme le poêle de son père, qui n'a pas l'intention de lui faire de cadeaux. Heureusement, des alliés viendront lui prêter main-forte et elle puisera du réconfort au fond des yeux bleus du plus bel homme de la place.

Elle est faite de récits authentiques qu'on m'a contés entre deux plants de tomates ou en jasant sur la galerie. En gros, c'est l'histoire d'Eva, une belle grande fille, agressée dans sa jeunesse mais résiliente comme pas une. On est au début du 20e siècle, et Eva va tout faire pour sauver l'enfant illégitime de sa petite sœur des griffes d'un curé sauté su'l crinque. Autour d'elle, il y a sa mère dénaturée, son père aimant, des voisins charitables, un docteur au lourd secret, un peddler coloré… pis un futur mari pas piqué des vers.

On dit de lui qu’il est le virtuose de l’interrogatoire, et pour cause : Jacques Landry en a mené plus de 12 000, d’abord à titre d’en—quêteur de la Sûreté du Québec, où il a travaillé pendant 25 ans, ensuite comme polygraphiste privé. En un demi-siècle de tête-à tête avec des possibles meurtriers, violeurs, voleurs ou fraudeurs, Jacques Landry a peaufiné une méthode qui fait désormais école et qui a permis de résoudre bien des crimes, non seulement au Québec mais ailleurs dans le monde.

L’histoire que je vais vous raconter se déroule dans Bellechasse, ma terre natale. On est en 1931. Eva et Hormidas, mariés depuis vingt ans, sont toujours aussi amoureux. Mais pour la première fois, un frette à faire péter les clous dans les murs s’installe entre eux. L’origine de cette chicane aux proportions bibliques ? Les agissements de leur fille Aline, maladivement jalouse de sa jumelle Alice à la jambe de bois.

Les heures de Roc-du-Cap sont comptées. Damian Ragellan reçoit la plus haute distinction militaire de l’armée. Il devient Arcaporal à dix-sept ans. Du jamais vu. Personne ne sait d’où provient son talent exceptionnel pour le combat. Pas même lui. Mais ça n’a plus d’importance. Dans une semaine, la cité qu’il a juré de protéger pourrait disparaître à jamais. Une maladie mortelle décime la population à une vitesse effarante. Les infectés connaissent leur destin : des larmes noires déchireront leur visage jusqu’aux os.

Voici l’histoire de Victoire Du Saut, fondatrice de la cordonnerie à l’origine de la fortune de la famille Dufresne, bien connue des Montréalais pour l’imposant manoir qui porte son nom dans le quartier d’Hochelaga-Maisonneuve. Cette grande fresque historique et familiale est propulsée par la vision et l’audace d’une femme de tête. S’y mêlent les émois d’une idylle impossible, les dangers d’un sulfureux triangle amoureux, et les effets d’un bouleversant secret de famille qui ne laissera personne indemne.