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Did you know that O. Henrys real name, was William Syndey Porter? He had many pseudonyms but is most known as O. Henry. He wrote over 300 stories, and is known for playfully writing a twist at their end. Most of them are based in New York with characters being an average Joe. A census at the time stated there were about four million individuals living in NYC at the time, and that is how this volume of short stories, received its name. Like the characters in his stories, his life was full of surprising twists and turns.

Did you know that O. Henry’s real name was William Syndey Porter? He had many pseudonyms, but is most known as "O. Henry". He wrote over 300 stories, and is known for playfully writing a twist at their end. Most of them are based in New York, with characters being an average Joe. A census at the time stated there were about four million individuals living in NYC at the time, and that is how this volume of short stories received its name. Like the characters in his stories, his life was full of surprising twists and turns.

Azt hiszem, a kutya az egyike az ember legsikeresebb háziasítási kísérleteinek. Amióta szolgálatunkba léptek, a legsokoldalúbb barátaink. Társaságot nyújtanak, mikor erre van szükségünk vigasztalnak. Rendőrkutyaként kiszimatolják a bűnt, és szemévé lesznek azoknak, akik nem látnak. Őrzik tulajdonunkat, százféle módon vigyáznak ránk. Ezek a történetek ékesen bizonyítják, milyen hihetetlenül sokoldalú és elbűvölő állatok.

"The Gift of the Magi" is a short Christmas-Story by O. Henry (William Sydney Porter): One dollar and eighty-seven cents. That was all. And sixty cents of it was in pennies. Pennies saved one and two at a time by bulldozing the grocer and the vegetable man and the butcher until one's cheeks burned with the silent imputation of parsimony that such close dealing implied. Three times Della counted it. One dollar and eighty-seven cents. And the next day would be Christmas.

C'est la fin de l'automne et l'hiver se fait sentir. Soapy, un sans-abri parmi tant d'autres arrivés à New York au début du vingtième siècle, sait qu'il est temps pour lui de se trouver un abri pour les prochains mois. Après tant d'années dans la rue, il en est venu à considérer la prison locale comme étant un refuge. Il met donc en place une série de tactiques dans le but de se faire arrêter et incarcérer. L'écrivain américain O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, est l'un des maîtres de la nouvelle.

Dans cette nouvelle, O. Henry s'attaque au prototype du triangle amoureux et à l'adage: "Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis". Notre narrateur, Jim, est amoureux d'une jeune fille de dix-huit ans. Le problème? Il en va de même de son ami Goodloe. Quand le père ce celle-ci se rend compte que ces deux hommes s'intéressent à sa fille, il l'emporte avec lui et disparaît.

Jimmy Valentine est libéré après quatre mois de prison. Cambrioleur, il est pressé de retourner au travail, mais voilà qu'il s'énamoure de la fille d'un banquier. Pour elle, il change de vie, mais on n'échappe pas à son passé aussi facilement. L'écrivain américain O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, est l'un des maîtres de la nouvelle. Il travailla comme journaliste au Houston Post et fit partie des écrivains les mieux payés aux États-Unis. Parmi ses recueils les plus connus on peut nommer "New York Tic Tac" et "Les Quatre Millions".

Un jeune homme recherche désespérément la femme qu'il a aimé à travers divers logements dans un quartier newyorkais. C'est peut-être la nouvelle la plus lugubre de O. Henry, et la plus froidement ironique. C'est un récit sur le caractère éphémère de la vie et sur l'indifférence du monde, où l'on ne laisse derrière soi que la plus légère des marques. C'est celle-ci que notre personnage poursuit en vidant les tiroirs et en inspectant chaque recoin, chaque crevasse, qui pourrait le mettre sur la trace de la femme qu'il cherche.

Cette histoire sentimentale est un des plus parfaits exemples d'ironie comique. Un jeune homme, Jim, et sa femme, Della, cherchent tous deux un cadeau de Noël pour leur autre moitié, mais ils n'ont presque pas un sou en poche. Que sont-ils prêt à sacrifier pour un amour qui n'a pas de prix ? L'écrivain américain O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, est l'un des maîtres de la nouvelle.

Le charlatan Jeff Peters relate l'histoire de cette fois où, avec son ami Andy, il prétendit être médecin et fut appelé au chevet du maire, le docteur habituel n'étant pas disponible. L'écrivain américain O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, est l'un des maîtres de la nouvelle. Il travailla comme journaliste au Houston Post et fit partie des écrivains les mieux payés aux États-Unis. Parmi ses recueils les plus connus on peut nommer "New York Tic Tac" et "Les Quatre Millions".

O. Henry dépeint ici, avec l'humour et l'empathie pour lesquels il est connu, New York au début du vingtième siècle et ses petites gens.

Help Mr. Donovan comfort the grieving Miss Conway before learning her biggest secret yet!

Soapi is a harmless ex-con, with no-where to go for warmth when winter is approaching and the newspapers he uses to pad his clothing aren't of much help anymore. Join him when he aims to get back to his old warm jail cell.

"Rieducazione con scasso" è un racconto breve pubblicato per la prima volta sul giornale Cosmopolitan nel 1903. Descrive il rientro in società del giovani rapinatore Jimmy Valentine. Nel 1910 il drammaturgo Paul Armstrong riadattò la storia in uno spettacolo teatrale di grande successo a Broadway, intitolato "Aliam Jimmy Valentine", successivamente trasformato in 3 diversi film nel 1915, 1920 e 1928. Il protagonista è ispirato all'incidente descritto ne "I Miserabili di Hugo". La storia fu inoltre adattata in una radio serie nel 1938.

In "Memorie di un cane giallo", un cane di nome Lovely si sente male per il marito della sua padrone, perchè va a lavorare tutto il giorno mentre sua moglie sta a casa a fare nulla. Un giorno parla con un altro cane che gli dice che il suo padrone esce spesso per divertirsi. Anche Lovely vorrebbe che il suo padrone stia bene perciò lo conduce verso un bar. Dopo il bar, il padrone libera Lovely, ma lui rimane e fa capire al suo padrone che dovrebbe piuttosto liberare se stesso.

Sono qui presentati i due racconti: "Rieducazione con scasso" e "Memorie di un cane giallo". I racconti di O. Henry sono famosi per il loro finale a sorpresa e per il loro taglio umoristico. Fu soprannominato "La risposta americana a Guy de Maupassant". In "Memorie di un cane giallo", un cane di nome Lovely si sente male per il marito della sua padrone, perchè va a lavorare tutto il giorno mentre sua moglie sta a casa a fare nulla. Un giorno parla con un altro cane che gli dice che il suo padrone esce spesso per divertirsi.

Four favorite tales from the pen of American short-story writer O. Henry that burst with his humor, pathos, and endearing observations on children, the poor, and dogs! In this collection: “The Ransom of Red Chief” (two kidnappers hatch a plot and get more than they bargain for!), “Memoirs of a Yellow Dog” (a put-upon pup and his master yearn for a better life), “The Cop and the Anthem” (all poor Soapy wanted was a warm bed for the winter), and “The Gift of the Magi” (the classic Christmas tale of love and giving from the heart).

Selections include: "A Madison Square Arabian Night", "The Lost Blend", "The Buyer from Cactus City", "Georgia's Ruling", "Blind Man's Holiday", "The Ransom of Red Chief", "Halloway's Code", and "The Last Leaf".

The best of O. Henry's stories: "The Gift of the Magi", "The Voice of the City", "The Ransom of Red Chief", and more.

¿Alguna vez has mentido a una persona, porque la querías tanto, que no querías que se enterara de algo? Un Sacrificio por Amor La nuestra es una bella historia de amor, que se va a ver sometida a la presión de la cruda realidad:Della, es una pianista, que sueña con dar conciertosJoe, es un pintor, que sueña ser un gran maestro. Pero a veces la vida somete nuestras ilusiones a prosaicas realidades, lo cual no tiene por que desmoralizarnos, ya que el arte en si mismo es ya suficiente retribución, sobre todo cuando existe ese tipo de amor que todo lo compensa.