Cyril, le "boucher moderne" comme l'appellent ses clients, nous raconte l'âme sensible qui se cache derrière le rockeur à la contrebasse et sa quête de l'amour... Et qui sait, en rencontrant Clarisse, il a peut-être trouvé la femme de sa vie ! Dans un monde qui veut tout mesurer, numériser, contrôler, réduire à des équations mathématiques, l'amour peut-il être lui aussi mis en bouteille ? Voici le podcast "The Love Experiment". Depuis que Caroline connaît l'existence des "36 questions pour tomber amoureux", elles la fascinent ! Alors quand Tipik a lancé l'émission "The Love Experiment" pour reproduire l'expérience à travers toute la Belgique, Caroline a sauté dans l'aventure à pieds joints. La voilà donc partie sur les routes de Wallonie pour retrouver ces personne qui ont tenté leur chance. Chaque semaine, elle vous emmène à la rencontre d'un.e prétendant.e pour revivre son expérience et découvrir son histoire, mais aussi ce qu'il s'est passé une fois que les caméras se sont arrêtées de tourner. Existe-t-il vraiment un mode d'emploi à l'amour ? C'est tout l'enjeu de "The Love Experiment". L’émission The Love Experiment est diffusée tous les mercredis sur Tipik en télé à partir de 7 octobre. Retrouvez tous les épisodes de ce podcast sur Auvio et les applications de podcast. The Love Experiment est une production de la RTBF et de Les Visions. Isabelle Christiaens, Responsable Coproductions Documentaires - RTBF Lucie Rezsöhazy, Coordinatrice de production - RTBF Sarah Semana, Assistante de production - RTBF Caroline Prévinaire Réalisatrice - Les Visions Écriture, montage et voix-off Xavier Guinotte Producteur - Les Visions Direction musicale Emeline Lejeune Assistante de production - Les Visions Chroniqueuse Antoine Litt Mixage et Mastering Adaptation graphique Les Signes du Quotidien. Merci à Cyril et Clarisse pour leur participation. Merci à Sophie Gillet, Aude Esperandieu, Loïc Normant, Axel Bonnert, Charline Hap ainsi qu'à toute l'équipe de production télévisée de The Love Experiment. Merci à Paola Acosta et Elodie Meurer. Merci à Samuel Evrard.