La pénurie de main-d’œuvre affecte notre société depuis près de 10 ans maintenant. Non seulement, nous avons de la difficulté à recruter des personnes qualifiées pour les postes à pourvoir, mais nous nous rendons compte que ceci touche plusieurs pays en occident.
Ceci pour plusieurs raisons, dont la technologie qui influence les nouveaux modèles d’emploi. Des programmeurs peu nombreux, des experts IT et AI quasi intraçables. Ce sont des domaines pointilleux exigeant des compétences raffinées, ce qui créé une limitation dans la recherche de professionnels aguerries dans le domaine. Ce sont des postes très dispendieux. La rétention est difficile puisque la compétition ne cesse d’augmenter les salaires et les bénéfices. À ce point, il faut devenir créatif pour séduire les candidats potentiels. Ce que fait Prévu3d.
Pour pallier ce problème à l’entreprise Prevu3d, le président et cofondateur M. Nicolas Morency, s’est tourné vers l’Europe afin de trouver des ingénieurs en programmation de haut calibre. Il souhaite continuer à recruter des québécois(e)s, cependant, ces derniers sont très sollicités sur le marché du travail. À peine s’ils sont sur les bancs d’école, que des offres d’emploi se bousculent constamment jusqu’à la fin de leurs études.
Finalement, une bonne partie des problèmes se retrouvent dans les entreprises de fabrication. Des journaliers, des bouchers, des charcutiers, etc, sont devenus une denrée rare. Encore une fois, les candidats ont le loisir de choisir les conditions de travail qui répondront à leurs attentes. Un défi en soi pour les entreprises Agro-Alimentaires. Tel que les Aliments Asta.
Pour remédier à ses difficultés de recrutement, Mme Stéphanie Poitras s’est tourné vers l’instauration de l’automatisation de la production. Non seulement pour aider ses employés, mais combler les postes de journaliers difficiles à combler. Dans sa région (Rivière-du-loup), plusieurs manufactures sont sur place, pour cette raison, la bataille est constante entre elles pour obtenir la main-d’œuvre qualifié.